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Un an, une université, une expérience internationale - Marie-Charlotte Hamel

Raphaël Hébert

Vivre une session de quatre mois à l’étranger peut faire peur à plusieurs personnes. Vivre un an à l’autre bout du monde peut donc sembler complètement fou. Pourtant, Marie-Charlotte Hamel, étudiante au B.A.A. à FSA ULaval a vécu l’expérience de sa vie à l’Université d’Aston, à Birmingham, en Angleterre. Elle est partie pour les sessions d’automne 2016 et d’hiver 2017 dans le cadre du profil international et le Palasis – Comité de promotion est là pour te faire voir à quel point cette expérience peut être à la fois enrichissante et inoubliable.

La préparation et l’encadrement lors du profil international

Partir à l’étranger ne demande pas de cours préparatoire à proprement parler, mais le Bureau international s’occupe de procurer à tous ses étudiants une formation préalable à leur départ. De plus, une foule de témoignages est disponible sans oublier les ateliers préparatoires. Dans le cas de Marie-Charlotte, elle eut la chance de vivre sa formation prédépart avec d’autres étudiants partant en Europe de l’Ouest.

Un conseil que Marie-Charlotte nous donne est de se préparer d’avance pour les formalités telles que les visas, puisqu’elle a elle-même dû se rendre à Ottawa pour le récupérer. Elle est également arrivée 2 à 3 semaines avant le début des cours pour s’immerger dans son nouvel environnement. Mais pas besoin de s’inquiéter, l’encadrement autant par l’université d’accueil que par l’UL est ‘’on point ’’.

L’accueil était très bien organisé, et ce, de l’arrivée à l’aéroport jusqu’aux formalités et aux visites du campus. De plus, elle a eu la chance de vivre une semaine d’intégration d’étudiants internationaux en plus d’une semaine d’initiation durant lesquelles elle a créé de très bonnes amitiés.

 

Je conseille aux gens, qui sont intéressés à étudier à l’étranger, d’aller sur la plateforme web du Bureau international de l’Université Laval : Contact Cosmopolite. J’ai longtemps hésité entre la Scandinavie et l’Angleterre, mais les témoignages et rapports d’étudiants m’ont réellement aidée à faire un choix éclairé.

 

La vie universitaire à l’étranger

Marie-Charlotte a opté pour le cheminement général pour faciliter la conversion de ses cours en crédits à l’Université Laval. Par contre, il n’est pas impossible d’avoir un cheminement spécialisé. Il suffit de s’informer auprès du Service de développement et des relations internationales (SDRI), puisque les grades d’évaluation ne sont pas les mêmes. Dans son cas, elle a réussi à compléter l’équivalent de 9 cours pendant ses sessions en Angleterre.

La vie sur le campus d’Aston est très différente puisque c’est plus petit et les services sont très proches les uns des autres. Selon Marie-Charlotte, on s’y sentait moins perdu dans la masse. De plus, être un étudiant étranger ne limite en aucun cas les possibilités d’implication. Par exemple, elle a fait partie de l’équipe de natation avec laquelle elle a participé aux championnats nationaux universitaires et elle a aussi mis sur pied un évènement TED.

 

Les gens ne devraient pas avoir peur du niveau de difficulté des cours à l’étranger. J’ai même éprouvé plus de facilité puisque le système d’évaluation n’est pas le même. On devait faire un examen seulement, mais nous avions 1 heure de séminaire par semaine et je me suis rapidement adaptée et j’ai eu de très bonnes notes.

 

Les activités à faire en dehors du campus et les highlights

Bien que l’implication au sein de l’équipe sportive de natation prit une bonne partie de son emploi du temps, elle a su s’impliquer dans une équipe de ski. Marie-Charlotte a bien entendu voyagé à l’extérieur de Birmingham en allant dans des villes situées à proximité. L’un des avantages de l’Angleterre est que tout est accessible via le train et il est facile de se déplacer. Elle a eu la chance de visiter les pays suivants : Espagne, France, Pays-Bas, Danemark, Grèce et Écosse.

Sinon, le championnat national de natation reste très haut dans sa liste ainsi que ses 5 visites de la ville de Londres, où elle retournerait sans hésiter.

 

Le plus gros highlight de mon voyage est sans aucun doute la visite de l’Université d’Oxford. Je me sentais comme dans Harry Potter et j’avais l’impression que Dumbledore allait sortir à tout moment. Il y avait même des plaques datant de 1400, ce que j’ai aimé apprendre là-bas, c’est l’histoire de l’endroit!

 

Bien plus qu’une expérience académique, une expérience humaine

Marie-Charlotte a eu la chance de rencontrer de merveilleuses personnes avec qui elle a toujours gardé contact. Ces personnes furent autant des étudiants locaux qu’internationaux. Par exemple, pendant les vacances de Pâques (qui durent 3 semaines), elle est allée chez son amie en campagne. Elle a pu voir une tout autre facette de l’Angleterre et ainsi enrichir son expérience. Elle est aussi restée très proche d’une collègue qui vient de la Biélorussie.

Bien entendu, elle a aussi rencontré des gens d’influence comme des personnes voulant lui offrir un stage au siège social de la Banque HSBC.

Pourquoi faire le profil international ?

Pour sortir de sa zone de confort et vivre une expérience d’université différente de celle à laquelle nous sommes habitués. Ça fait changement du parcours typique secondaire-cégep-université. Marie-Charlotte vient de Québec et elle voulait clairement vivre une expérience hors du commun.

Sur ce, n'attends plus! Inscris-toi avant le 16 février via le lien : http://www4.fsa.ulaval.ca/international/partir-a-letranger/session-detudes-profil-international/

Raphaël Hébert

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