Tu raffoles des Jeux Olympiques? Ça tombe bien parce que, pour l’occasion, nous t’avons préparé un petit guide 101 de qu’est-ce qui se passe avec nos représentants de l’UL. Notre mission: Te faire découvrir le cheminement sportif de chacun de ces athlètes et t’informer du moment auquel tu devras être devant ta télé pour les encourager. Donc, enfile tes plus beaux habits rouges et joins-toi à nous pour encourager TEAM CANADA.
1. ANNE-MARIE COMEAU - Ski de fond
Âgée de 21 ans seulement et provenant tout droit de St-Ferréol-les-Neiges, Anne-Marie Comeau est la seule représentante de FSA ULaval à Pyeongchang. Eh oui, cette athlète de haut niveau étudie actuellement en comptabilité et, peu importe ses aspirations sportives, elle souhaite poursuivre son cheminement académique.
Son sport ? Le ski de fond. C’est après deux ans d’absence des compétitions qu’elle a décidé, en début janvier, de revenir sur les pistes. Elle a surpris tout le monde en se hissant au deuxième rang au skiathlon de 15 km et en troisième position au 10 km classique des sélections olympiques canadiennes au Mont Sainte-Anne.
Toutefois, pour se mériter un billet d’avion en direction de la Corée du Sud, elle devait prendre part à un total de 5 courses reconnues par la FSI (Fédération internationale de ski). Afin de répondre à cette exigence, Anne-Marie s’est rendue durant le mois de janvier aux États-Unis afin d’accomplir les deux compétitions qui lui manquait avant Pyeongchang.
Avec son talent et ses efforts investis lors des dernières semaines, elle a réussi à se mériter une place dans l’équipe olympique canadienne.
Si jamais tu as envie, comme nous, de l’encourager, on te donne rendez-vous le 10 février pour le début des compétitions de skiathlon pour femmes.
2. ALEX HARVEY - Ski de fond
Étudiant en droit, Alex Harvey jongle entre les entraînements, les voyages, les cours et Netflix (parce que hé oui, il est fier amateur de House of cards, Scandal et Suits). Il a commencé le ski de fond à l’âge de 3 ans et depuis, il se donne corps et âme dans ce sport.
Il est de loin l’un de nos meilleurs espoirs canadiens. Il n’en est pas à sa première participation aux Jeux Olympiques, puisqu’en 2014, il a remporté la 4ème position dans l’épreuve de sprint. Cette année, il est prêt à se surpasser pour nous en mettre plein la vue.
Les Olympiques, c’est une histoire de famille chez les Harvey. Le père d’Alex n’y a pas seulement participé une fois, mais bien quatre: 2 fois en ski de fond et 2 fois en cyclisme. On peut alors dire qu’il suit les traces à son père (la catch-tu ?).
Attention, attention! Tu ne veux pas manquer ses performances, d’autant plus qu’il a commencé à parler d’une retraite éventuelle au printemps. Sur ce, si tu veux le voir performer, ses compétitions commencent le 11 février.
3. ALEXANDRE ST-JEAN - Patinage de vitesse
Étudiant en médecine dentaire, Alexandre St-Jean participe sous la bannière canadienne en patinage de vitesse.
Bien qu’il n’avait pas été qualifié pour participer aux Jeux Olympiques de Sotchi en 2014 et qu’il avait interrompu sa saison 2014-2015 pour se concentrer sur ses études, il a fait un retour triomphant à l’automne suivant. En effet, Alexandre a réussi à se qualifier pour Pyeongchang.
Actuellement positionné au douzième rang dans le classement cumulatif du circuit des Coupes du 1000m, cet athlète risque de nous en mettre plein la vue durant les prochaines semaines.
Il sera possible de l’encourager dès le 10 février lors des premières compétitions de patinage de vitesse.
4. LAURENT DUBREUIL - Patinage de vitesse
Pour Laurent Dubreuil, les Jeux Olympiques sont au coeur de ses passions. Étudiant au BAC en communication, il se rend à Pyongchang avec la délégation canadienne en patinage de vitesse.
Ce n’est qu’avec 0.005 secondes de retard au 500 m des qualifications des derniers Jeux Olympiques qu’il n’a pu aller à Sotchi en 2014. Pyeongchang représente donc pour lui le point culminant de sa carrière qu’il attend depuis toujours.
On va sans dire qu’en ayant déjà obtenu une médaille d’or au 500 m de la coupe du monde, sa saison actuelle va à merveille. Sois prêt à le voir performer lui aussi dès le 10 février.
Petit rappel: Pyeongchang a 14 heures de décalage horaire avec nous. Quoi demander de mieux, puisque cela signifie que les principales compétitions sont soit le matin, soit le soir pour nous. Tu n’as donc aucune excuse pour ne pas être fidèle au poste à encourager les athlètes canadiens.
Pour plus d’information sur les participants ou par rapport à tout ce qui touche Team Canada, rendez-vous au: https://olympique.ca/
GO CANADA GO !
Mélissa Bilodeau